Algérie: La consommation d’énergie augmente de 5% chaque année

La consommation d’énergie en Algérie augmente annuellement de 4% à 5%, a indiqué jeudi 3 octobre, à l’APS, le directeur de l’efficacité énergétique au sein du CEREFE, Mourad Issiakhem. Prenant part au séminaire national sur la promotion des énergies renouvelables, organisé par l’université de Tizi-Ouzou, ce dernier n’a pas manqué d’annoncer que l’Algérie produira 4 gigawatts à la fin de l’année en cours.

Au chapitre de la consommation énergétique, il faut savoir que le secteur du bâtiment représente près de 47% de la consommation finale d’énergie, suivi par le secteur des transports avec plus de 28%.

Mourad Issiakhem a ainsi mis l’accent sur la nécessité de rationnaliser la consommation d’énergie via des méthodes simples. Pour lui, l’économie d’énergie nécessite un changement de comportement en matière de consommation via notamment l’adoption de réflexes comme l’extinction des lumières, la coupure de la ventilation inutile ainsi que la nécessité de ne pas laisser en veilleuse les appareils ménagers. Ces réflexes d’apparence anodins sont en fait à même de réduire de 10% cette consommation d’Energie.

Par La rédaction de Tiwizi info

Foire internationale de DAKAR, Une opportunité à l’international pour les investisseurs algériens

Les entreprises et les investisseurs algériens désirant faire connaître et vendre leurs produits dans les pays africains ne doivent pas rater la Foire internationale de Dakar (FIDAK) qui se tiendra du 28 novembre au 15 décembre au Sénégal.

L’ALGEX (Agence Nationale de Promotion du Commerce Extérieur) qui invite les opérateurs algériens à y participer rappelle que cet évènement est l’un des plus importants en Afrique de l’Ouest. ALGEX note par ailleurs que cette partie du continent africain est dotée d’un potentiel de 300 millions de consommateurs.

Les secteurs concernés, selon l’organisme organisateur, le Centre international du Commerce extérieur du Sénégal (CICES), sont notamment l’alimentation/Agro-alimentaire, Agriculture/Elevage/ Pêche, Construction/ Immobilier, Hydraulique/ Assainissement/ Travaux Publics, Ingénierie/ Matériels et Equipements techniques, Audiovisuel/ Télécommunication, Edition/Presse, Transport/ Logistique, Energie/Mines, Jouets/Jeux/Instruments de musique, Banques/Assurances/Services financiers, Automobiles/Accessoires Autos, Articles de bureau/ Matériel didactique/ Informatique, Mobilier/Articles de maison, Articles de décoration, Mode/ Textile/ Cosmétiques, Articles en cuir/ Maroquinerie, Artisanat, Services administratifs.

Pourquoi faut-il absolument participer à cet évènement ?

Il faut noter aussi que les exposants pourront promouvoir et vendre via des expositions d’échantillons et de vente de produits. Les participants pourront aussi enrichir leurs connaissances de leurs produits et domaines d’investissement grâce aux conférences et workshops ainsi que des rencontres B2B. En somme, la FIDAK est une source de contacts d’affaires pour les opérateurs participants.

Comment s’inscrire pour participer ?

Pour sa part, ALGEX a facilité les démarches pour les participants algériens qui n’ont ainsi qu’à remplir une fiche téléchargeable sur son site Web et remplir les renseignements demandés. Il faut aussi savoir que dans le cadre de la promotion des exportations des produits algériens, un fond spécial est mis en place apportant des facilitations et une participation financière aux charges de la participation.

Au titre d’une partie des frais de participation des exportateurs aux foires, expositions et salons spécialisés à l’étranger ainsi qu’à la prise en charge des frais de participation des entreprises aux forums techniques internationaux, le fond couvre 50% des frais engagés pour la participation à ces manifestations économiques à l’étranger à titre individuel.  Pour la participation inscrite au titre du programme annuel officiel de la participation de l’Algérie aux manifestations économiques à l’étranger, le fond couvre  80% des frais engagé, explique ALGEX.

Par La rédaction de Tiwizi info

Prochaine ouverture de sept marchés saisonniers pour les produits agricoles

Après le marché du raisin de Bordj Menaïl ce mois d’août, sept autres produits agricoles auront leurs marchés saisonniers prochainement. La démarche vise à réduire le nombre d’intermédiaires et de baisser les prix

Des marchés saisonniers spécialisés des fruits et légumes seront prochainement créés à travers le pays. Au nombre de sept, ces marchés sont destinés à réduire le nombre d’intermédiaires intervenant dans la chaîne de commercialisation. L’annonce a été faite par le ministre du Commerce et de la Promotion des exportations, M.  Tayeb Zitouni qui prenait part à l’ouverture de la foire nationale des fruits et légumes qui se tient depuis jeudi à Alger. 

M. Zitouni expliquait en effet que la création de ces sept marchés vise à réduire le nombre d’intermédiaires et ainsi réduire les prix à la consommation. Il y aura, précise-t-il, un marché pour les olives, les dattes, les agrumes et d’autres produits comme la pomme. Il faut savoir que la démarche a déjà commencé avec la mise en place d’un premier marché du raisin, cet été à Bordj Ménaïl dans la wilaya de Boumerdes.

Soulignons enfin que cette 7ème édition de la foire des fruits et légume qui se poursuit jusqu’au 5 octobre a réuni quelque 160 exposants dont notamment des coopératives agricoles, des chambres d’agriculture de wilayas, des associations professionnelles et des entreprises privées et publiques spécialisées.

Par La rédaction de Tiwizi info

Plus de 18 millions de cartes de paiement électronique en circulation en Algérie

Avec plus de 18 millions de cartes de paiement électronique, le marché algérien de l’e-commerce dépasse désormais la barre de 1,5 milliards de dollars.

Il existe actuellement plus de 18 millions de cartes de paiement électronique sur le marché algérien, selon le président du Groupement algérien des acteurs du numérique (GAAN), Abdelouahab Gaoua. Intervenant, mercredi passé au Forum « Rakmana » tenu conjointement avec Algérie Télécom, ce dernier a indiqué que le marché algérien du e-commerce, en croissance ces dernières années, atteint le volume de 1,5 milliard de dollars grâce notamment à la progression rapide du parc national des cartes de paiement.

Abdelouahab Gaoua expliquait par ailleurs que l’e-commerce est actuellement indispensable pour l’économie algérienne du fait qu’il donne aux entreprises un accès à de nouveaux marchés tout en leur permettant d’améliorer leur compétitivité. Ce qui, ajoute-t-il, soutient la croissance économique nationale de manière générale.

Par La rédaction de Tiwizi info

L’Algérie va importer 300 000 pneus avant la fin de l’année 2024

Dans le cadre de l’importation des pneus, le ministère du Commerce et de la Promotion des exportations a indiqué qu’il compte importer quelque 300.000 unités avant la fin de l’année 2024. Une importation qui a déjà débuté, selon l’APS, par l’acquisition d’un premier lot de 100.000 unités de pneus au bénéfice, d’abord, du réseau de distribution national.

Par La rédaction de Tiwizi info

Etudier à l’université en France : voici ce que coûte l’inscription

Faire des études universitaires en France n’est pas gratuit. Des frais sont à prévoir pour les étudiants étrangers tout comme les étudiants français et ceux issus des pays de l’Union européenne, de l’espace Schengen ou de la Suisse.

Le coût réel des études y est le même qu’ailleurs dans le monde, soit environ 10 000 euros par an, indique Campus France qui précise que pour une année en cycle de Licence, l’inscription coûte 175 euros. Pour une année en cycle de Master, c’est 250 euros et 618 euros pour une année de cursus en formation d’ingénieur dans un établissement sous tutelle du ministère en charge de l’enseignement supérieur. Pour une année de Doctorat, les frais d’inscription sont estimés à 391 euros.

Il faut savoir aussi que « Certains étudiants extra-communautaires payent des droits d’inscription identiques à ceux des étudiants français et communautaires en fonction de leur statut ou du diplôme qu’ils préparent », explique Campus France.

Les étudiants étrangers concernés sont les étudiants résidents du Québec, les étudiants internationaux porteurs d’une carte de résident de longue durée ou les étudiants ayant déclaré leur foyer fiscal ou étant rattaché à un foyer fiscal en France depuis plus de 2 ans, les étudiants bénéficiaires du statut de réfugié ou de la protection subsidiaire ou enfants d’un bénéficiaire de tels statuts, les étudiants internationaux inscrits en doctorat, à l’habilitation à diriger des recherches et aux diplômes de 3ème cycle des études médicales, odontologiques et pharmaceutiques, les étudiants internationaux inscrits dans une classe préparatoire aux grandes écoles, quelle que soit leur nationalité, et ayant une double inscription en Licence à l’université, les étudiants inscrits dans un établissement d’enseignement supérieur public relevant du Ministère de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche (MESR), tous niveaux confondus (Licence, Master, Doctorat) pour l’année universitaire 2018/2019 et enfin les étudiants inscrits dans un centre de français langue étrangère (FLE) en France avant la rentrée universitaire 2019/2020.

Enfin, les frais d’inscription sont différenciers dans le cas où l’étudiant s’inscrit pour la 1ère fois en Licence, en Master ou dans un cycle d’ingénieur à la rentrée 2024/2025, au sein d’un établissement d’enseignement supérieur relevant du MESR, tant qu’il n’est pas installé durablement en France. 

L’Etat prend alors en charge les deux tiers du coût de la formation.  Le montant des droits d’inscription qui reste à payer est alors de 2 850 euros pour une année en cycle de Licence et de 3 879 euros pour une année en cycle Master. Campus France précise que dans le cas où l’étudiant débute un cycle de doctorat à la rentrée 2024, l’Etat continue de prendre en charge l’essentiel du coût de la formation. Les frais d’inscription sont alors fixés à 391 euros.

Par La rédaction de Tiwizi info

Ce qui attire les immigrés en France

Les immigrés représentent 10,7 % de la population française, contre 10,3 % en 2021.

Les raisons familiales représentent la majeure partie des causes poussant les personnes âgées de 18 à 59 ans à émigrer en France, selon l’Institut français de la statistique et des études économiques (Insee) qui vient de publier un rapport sur l’émigration. La même étude conclut néanmoins que l’immigration est aussi liée à des motifs économiques et étudiants. 60 % d’entre eux ont accédé à l’emploi tandis que 30 % sont étudiants ou retraités, et 10 % restent encore au chômage, détaille le même institut.

L’Insee précise aussi que 46% des africains représentants 48 % des immigrés en 2023 affirment être venus en France afin d’accompagner ou de rejoindre sur place un membre de leur famille. Les maghrébins sont 53% à expliquer leur venue en France par les motifs familiaux.

Pour leur part, les immigrés d’origine asiatique représentant 14% des émigrés en France sont 43% à dire que leur arrivée dans l’Hexagone est due à des motifs familiaux et 34 % des émigrés venant de pays européens expliquent aussi leur présence sur le sol français par des raisons familiales.

Par La rédaction de Tiwizi info

Algérie: 30 millions de quintaux de blé dur visés pour la saison 2024-2025

L’Algérie ambitionne de réaliser l’autosuffisance en blé dur à partir de l’année 2025. Pour se faire, une superficie estimée à 1,6 millions d’hectares sur les 3,069 millions d’hectares à cultiver durant la saison 2024-2025 sera consacrée à la culture du blé dur. C’est ce qu’a déclaré le ministre de l’Agriculture et du Développement  rural, Youcef Cherfa qui intervenait, jeudi, lors de la réunion nationale de préparation de la campagne labours-semailles, avec les présidents des unions des coopératives de céréales et de légumineuses sèches.

M. Cherfa a également fait savoir que son département met à la disposition de l’Office algérien interprofessionnel des céréales (OAIC), une quantité de 4,2 millions de quintaux de semences ainsi que les engrais nécessaires. L’approche entre dans le cadre de l’objectif d’atteindre l’autosuffisance en matière de blé dur à l’horizon 2025.

Enfin, le ministre de l’Agriculture et du Développement rural a mis en exergue la nécessité d’entamer la campagne labours-semailles 2024-2025 pour atteindre l’objectif d’atteindre 30 millions de quintaux de blé dur visés pour cette saison.  

Par La rédaction de Tiwizi info